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Vardenafil est un inhibiteur de la PDE-5, qui agit en relaxant les muscles de la paroi de l’organe sexuel. En augmentant le flux sanguin vers cette zone, vous pourrez obtenir une érection ferme et prolongée. Les effets durent jusqu’à 4 heures.

Chez les patients souffrant de problèmes cardiaques, le médicament Vardenafil doit être utilisé sous la supervision d’un médecin ou d’un pharmacien expérimenté.

Le dosage et la durée du traitement sont prescrits par le médecin. Si la dose recommandée ne vous convient pas, demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien. N’augmentez pas la dose de votre médicament vous-même. Ne laissez pas votre maladie cardiaque s’aggraver et de ne pas devenir chronique.

Les effets secondaires courants de Vardenafil sont des maux de tête, des troubles digestifs, des nausées ou des vomissements, des rougeurs du visage, des bouffées de chaleur, des douleurs thoraciques, de la congestion nasale et des maux de dos ou des douleurs musculaires.

La dysfonction érectile est un trouble courant chez les hommes.

Si vous souffrez de dysfonction érectile et ne recevez pas de réponse de la part de votre médecin, vous devriez consulter un spécialiste pour en savoir plus sur votre état. Il est également conseillé de consulter un médecin si vous avez des problèmes de santé, tels que des problèmes cardiaques ou d’autres maladies graves.

Veuillez également consulter un spécialiste si vous ressentez une douleur thoracique, un rythme cardiaque irrégulier ou une douleur à la poitrine.

Vardenafil n’est pas recommandé chez les patients atteints d’insuffisance hépatique. Si vous prenez Vardenafil et présentez des signes de maladie hépatique, arrêtez le traitement et contactez votre médecin.

Veuillez lire attentivement la notice avant de prendre ce médicament.

Avant d’acheter ce médicament, il est préférable de consulter un médecin.

Si vous prenez des nitrates pour traiter les douleurs thoraciques ou une pression artérielle élevée, veuillez consulter un professionnel de la santé.

Les patients souffrant de maladies cardiaques et d’autres affections doivent discuter avec leur médecin des avantages et des risques associés à l’utilisation de Vardenafil et de tout autre médicament sur ordonnance.

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Les deux hommes sont actuellement détenus à la prison de Villefranche-sur-Saône. Cette affaire avait été relancée après le décès de ce jeune homme de 21 ans, retrouvé mort au petit matin, avec un taux de glycémie de 350 mg/l d’urine en moyenne. En juin dernier, les enquêteurs avaient retrouvé sa montre qui contenait des traces de glyphosate. Les analyses avaient alors montré que le glyphosate était la cause de ce décès.

« On n’a jamais pu savoir si la mort était accidentelle, ou provoquée par le glyphosate », a expliqué à l’AFP le procureur de la République, François Pérault. Le parquet avait alors ouvert une information judiciaire et demandé à ce que les deux hommes soient placés en détention provisoire. Cette demande a été rejetée vendredi par le juge d’instruction en charge du dossier.

Le glyphosate est un herbicide « ultra-dangereux », avait déjà jugé en juin dernier le professeur Pierre-Alain Préfaut, président de l’Association française de lutte antipsychiatrique.

Un débat de santé publique

La préfecture du Rhône avait alors demandé la suspension de la vente du Roundup Pro 360, ce qui avait été refusé par le ministère de l’Agriculture. Ce produit herbicide de Monsanto, vendu sous les marques Roundup et Roundup Pro, est « hautement préoccupant pour la santé », avait alors estimé l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail).

La décision de suspendre la vente est cependant « très relative » a estimé jeudi le Pr Préfaut. Il a estimé que le glyphosate était un « sujet de santé publique », ajoutant que le problème était « loin d’être clos » et qu’il « faudrait un moratoire sur sa vente ».

Cette décision « va dans le bon sens », a estimé de son côté le syndicat des fabricants de glyphosate.

Nouvelles plaintes

Des nouvelles plaintes pour « homicide volontaire », visant des anciens salariés de l’usine de Monsanto, ont également été déposées par les familles des deux hommes. Elles portent sur le décès d’autres salariés de l’usine du fabricant de semences OGM dans les années 80, a indiqué à l’AFP Me Arnaud Dupuy, avocat de la famille. Le procureur de la République a quant à lui demandé que d’autres procédures soient engagées contre l’ancienne direction de l’usine et contre son ancien directeur, René Latty, soupçonné de « négligence ».

« C’est pour ces faits qu’on veut juger Monsanto », a déclaré à l’AFP Me Dupuy.

Monsanto a annoncé en février avoir porté plainte contre le site d’informations Lyon Capitale pour « diffamation » et « injure ». Elle accuse le site de l’avoir traitée de « cancer-souillé » et a promis de le poursuivre en justice pour « diffamation » si l’article n’était pas retiré. Selon M. Préfaut, la plainte « vise à faire disparaître toute trace » de l’affaire et a été « déposée à l’automne ».